Que faire avec la question de l’accès des femmes aux ministères ordonnés ?

Que faire avec la question de l’accès des femmes
aux ministères ordonnés ?

Pauline Jacob

 

La question des ministères et de l’intégration des femmes n’est pas nouvelle. Elle demeure un dossier fondamental qui a un impact sur la vie de l’Église catholique et sur le rôle que les femmes peuvent y assumer. Elle resurgit régulièrement dans les différentes Églises chrétiennes, comme dans la société. Le bref sondage réalisé en préparation du deuxième Synode des femmes organisé par la collective L’autre Parole à l’automne 2024 fait ressortir les préoccupations des catholiques du Québec à ce sujet. Les réponses recueillies touchent notamment la conception patriarcale des rôles des hommes et des femmes, sous-jacente à l’organisation de l’Église ; le peu d’écoute des femmes qui ont discerné un appel à l’un ou l’autre des ministères ordonnés ; l’importance d’ouvrir cette porte aux femmes dans le contexte social occidental actuel, entre autres celui du Québec, qui ne tolère plus les inégalités entre les hommes et les femmes.

Ce texte rappelle certains éléments de l’évolution de la question, jette un regard sur les femmes au cœur de la discussion et tente de faire ressortir les sources du problème, tout en suggérant quelques pistes d’action.

Un coup d’œil historique

Aux origines du christianisme

Comme Luc l’évoque dès le chapitre 8 de son évangile, des femmes faisaient route avec Jésus. Cette façon de faire était contraire aux coutumes de l’époque. De même, aux premiers temps du christianisme, de nombreuses femmes, telles Lydie et Phoebe, étaient des rassembleuses, des responsables de communautés. Et si elles étaient nommées, dans le contexte culturel de l’époque, c’est qu’elles jouaient un rôle très important. Comme le rappelle l’exégète Olivette Genest[1], Paul, dans sa première épître aux Corinthiens (1 Co 12,4-11), éclaire le sens des « ministères ». Il les considère comme des dons de lEsprit, ordonnés au bien de tous [et de toutes] et qui nécessitent lassentiment combiné du ministre et de la communauté.

Le Nouveau Testament ne parle pas de ministères ordonnés, puisqu’ils n’existaient pas aux premiers temps du christianisme. C’est avec la reconnaissance de l’Église par Constantin que l’organisation de l’Église s’est modelée sur celle de l’État romain avec ses différents ordres qui deviendront, dans l’institution catholique, ceux des évêques, des prêtres et des diacres.

Avant que les ministères reconnus de l’Église ne deviennent exclusivement masculins, des femmes ont été ordonnées diacres et même prêtres, comme l’ont retracé des chercheurs universitaires[2]. Et un coup d’œil dans l’histoire permet de constater le pouvoir « ministériel » des abbesses.

Des démarches audacieuses

À la fin du XIXe et au début du XXe siècle, dans la foulée des mouvements revendiquant l’égalité avec les hommes dans tous les domaines, entre autres pour le droit de vote, des femmes ont commencé à réclamer plus fortement l’accès à tous les ministères dans les différentes Églises. Dans les suites du concile Vatican II, on sentait une ouverture sur ce plan dans l’Église catholique. Cette ouverture a suscité chez Felix Davidek l’idée d’ordonner des femmes. Cet évêque catholique dans l’Église souterraine de Tchécoslovaquie, alors sous le régime communiste, considérait ce geste comme un signe des temps et une nécessité, ainsi que le rappelle Ludmila Javorová, la première femme ordonnée prêtre par Davidek en 1970[3]. Mais Rome a enterré cette réalité, ignorant toute demande de dialogue.

Et cette fermeture du Vatican persiste. Plus récemment, il y a eu les femmes du Danube, des femmes audacieuses qui ont poussé leur engagement jusqu’à se faire ordonner par des évêques catholiques[4]. Leur geste a exigé beaucoup de courage de leur part, leur option entraînant l’excommunication. Parmi elles, on retrouve entre autres deux théologiennes connues, engagées dans leurs milieux, soit l’Allemande Ida Raming et la Sud-Africaine Patricia Freisen. Elles seront ordonnées prêtres, puis évêques au sein de la Roman Catholic Women Priests (RCWP).

Il est bon de rappeler que, dès l’annonce de la tenue du concile Vatican II, Ida Raming cosigne avec Iris Müller, une autre théologienne engagée, une requête pour qu’on discute de l’ordina­tion des femmes. Cette demande est appuyée par une argumentation défaisant le discours romain qui interdit l’ordination des femmes. Dans les années 1970, Ida Raming soutient une thèse de doctorat sur cette question taboue dans l’institution catholique. À cause de ses prises de position, elle se verra refuser un poste de professeure à l’université de Muenster. Théologienne renommée avec plusieurs écrits dans la revue Concilium, elle est également reconnue comme pasteure par ses pairs. Au congrès de la Women Ordination Worlwide (WOW) tenu à Dublin en 2001, elle sera ovationnée comme telle.

Patricia Freisen, elle aussi docteure en théologie, quitte la vie religieuse après 45 années chez les Dominicaines en Afrique du Sud. Alors qu’elle est la seule femme professeure à la faculté de théologie du Séminaire St John-Vianney de Pretoria, elle perçoit les premiers indices d’un appel à la prêtrise, qui deviendra une certitude après des années de doute et de discernement. Des séminaristes, des prêtres, des amis et même un évêque lui reconnaissent cet appel. Pour réaliser sa vocation, elle doit quitter sa communauté, à laquelle elle reste profondément attachée, et s’exiler. Elle deviendra coordonnatrice de la formation pour les personnes se préparant au presbytérat à l’intérieur de la Roman Catholic Women Priests (RCWP).

Bref, de nombreux gestes ont été posés pour que l’accès des femmes à tous les ministères soit reconnu. Et seule la pointe de l’iceberg est ici évoquée.

De nombreuses actions entreprises au Québec et ailleurs

Au Québec, des femmes ont travaillé sans relâche pour qu’advienne un changement non seulement dans la société, mais dans l’Église. Le réseau Femmes et Ministères a œuvré en ce sens pendant plus de 40 ans, publiant des recherches, des écrits de biblistes, de théologiens et de théologiennes, des témoignages et des pétitions, sans que la question des ministères ne bouge vraiment. La collective L’autre Parole a appuyé ces actions tout en développant une autre façon de faire Église, d’actualiser la Parole, et en publiant elle aussi de nombreux textes dans une revue qui existe depuis 1976. Et à la fin du siècle dernier, de nombreux synodes diocésains ont clairement indiqué leur choix pour l’accès des femmes à tous les ministères, y compris la prêtrise. Mais la machine institutionnelle est lente à bouger.

D’autres Églises ont accepté d’ordonner des femmes, ce que l’institution romaine ne pouvait ignorer. Des documents officiels émanant de Rome surgissent souvent dans des moments sensibles. En 1976, Paul VI connaissait l’impact possible dans l’Église catholique des ministères ouverts aux femmes dans les autres Églises, particulièrement dans l’Église anglicane. L’Église anglicane avait décidé en 1974 d’autoriser l’ordination des femmes dans les diocèses qui voudraient se prévaloir de ce droit. Quelques mois plus tard, en octobre 1976, le magistère romain publie la déclaration Inter insigniores interdisant l’admissibilité des femmes au sacerdoce ministériel. Et en mai 1994, Jean-Paul II fait paraître sa lettre apostolique Ordinatio sacerdotalis sur l’ordination sacerdotale exclusivement réservée aux hommes. L’Église anglicane d’Angleterre, qui avait attendu pour accepter des femmes comme prêtres, a autorisé les femmes à devenir prêtres en novembre 1992 et ordonné ses premières femmes en mars 1994.

Dans l’Église catholique à travers le monde, malgré l’interdiction d’aborder la question, de multiples groupes de militance voient le jour et sont très actifs. Le plus ancien, fondé dans la foulée d’un congrès tenu à Détroit en 1975, la Women Ordination Conference[5] (WOC), est toujours bien vivant et présent sur la scène publique. Certaines de ses membres étaient à Rome lors des phases 1 et 2 du Synode sur la synodalité.

Les femmes, sujets et objets du « problème » ecclésial

Il est important de se rappeler que de nombreuses femmes continuent d’agir comme ministres reconnues ou non par l’institution. Elles assument déjà les fonctions de prêtres ou de diacres et sont considérées comme telles par leurs communautés. L’Église catholique se refuse à regarder que des femmes, porteuses de cette vocation, aient les aptitudes, les charismes et l’équilibre psychologique requis pour assumer diverses fonctions (ministères) dans l’Église.

Tout cela nous ramène au sens paulinien des ministères énoncé précédemment et soulève quelques questions. La position théologique exprimée par Paul mérite qu’on s’interroge sur la reconnaissance ministérielle des femmes.

… des dons de l’Esprit

Est-ce que les dons de l’Esprit ne seraient reçus que par les individus de sexe masculin de notre Église ? Poser la question, c’est déjà y répondre. Les clercs, pape y compris, n’ont pas le monopole de la réception des dons de l’Esprit qui, comme le rappelle l’évangile de Jean, souffle où il veut et quand il veut.

… ordonnés au bien de tous [et de toutes]

Est-ce que les dons que reçoivent les femmes servent la communauté ? Sont-ils ordonnés au bien de tous et de toutes ? Il n’est pas nécessaire de répondre longuement à cette question. Que de fois nous entendons des phrases comme celles-ci : « Ce sont les femmes qui tiennent à bout de bras les communautés chrétiennes. Sans elles, plusieurs communautés s’écroule­raient. » Les femmes, on le sait bien, mettent leurs talents au service des communautés, des talents d’ordre humain comme spirituel.

… et qui nécessitent l’assentiment combiné du ministre et de la communauté

Regardons maintenant le dernier élément de la conception du ministère chez Paul, soit la reconnaissance mutuelle de ce don par le ou la ministre et la communauté. Oui, des femmes se sentent interpellées à engager leur vie au service de leur communauté, et les gens les interpellent dans ce sens et reconnaissent leurs charismes, leurs dons spécifiques à nourrir leur communauté.

Le sens du ministère inspiré de Paul ne s’adresse pas à un genre particulier. L’apôtre ne décrit pas non plus les modalités d’application, les différentes formes possibles. Il évoque plutôt un esprit qui devrait se retrouver dans les différents ministères. Ce sont les besoins de la communauté, pour lesquels certains individus reçoivent des charismes particuliers, et non le genre de la personne, qui se révèlent déterminants.

Des femmes qui sentent un appel à un ministère ordonné l’ont pourtant discerné avec des critères qui sont ceux de l’institution, mis à part leur genre, mais on les ignore[6]. À travers ces différents refus et rappels à l’ordre des papes, on fait abstraction de leur appel vocationnel ministériel.

Bref, malgré les multiples actions entreprises au fil des ans pour qu’advienne un changement, le mouvement demeure très lent. D’où vient ce blocage à reconnaître l’égalité des hommes et des femmes ?

Quelques sources du problème

Outre une mauvaise compréhension des ministères, le contexte patriarcal, l’éloignement de l’esprit des origines et une représentation « sexiste » de Dieu aident à comprendre ce frein à l’égalité réelle entre les hommes et les femmes dans l’Église catholique.

Le contexte patriarcal

Il existe un blocage majeur transmis depuis des lustres dans l’institution catholique, soit le patriarcat. Les sociétés juives, grecques et romaines, dans lesquelles baignaient les premières communautés chrétiennes, étaient patriarcales. Et l’évolution vers une plus grande égalité entre les hommes et les femmes s’est poursuivie très lentement. Au début du XIXe siècle, à partir de la lutte des femmes pour leur égalité commencée au siècle précédent, la société occidentale a peu à peu évolué. Les femmes ont, en principe, eu accès à la presque totalité des fonctions dans la société et dans certaines Églises sœurs, mais pas dans l’Église catholique. Et ce sont uniquement des hommes célibataires qui, dans l’Église catholique, ont déterminé ce que sont les femmes et leur rôle dans la société et dans l’Église.

L’éloignement de l’esprit des origines

Dans le contexte de son époque, Jésus avait une ouverture prophétique concernant les femmes, mais cette ouverture a été rapidement ignorée. Jésus était en avance sur son temps pour faire advenir le royaume de Dieu. L’Église, sous prétexte de demeurer « universelle », réfrène parfois les avancées concernant les femmes, ce qui l’éloigne de l’Évangile. Elle continue de mettre un frein à une réelle égalité entre les hommes et les femmes en figeant leurs rôles et en faisant de la maternité le nœud de l’engagement des femmes, maternité spirituelle incluse. Ce message discriminatoire de l’Église a un impact réel sur l’ensemble des sociétés, chrétiennes et non chrétiennes. Il prive certaines personnes de l’accès au message du Christ. Ce refus d’égalité entre les hommes et les femmes devient gênant. Outre cet éloignement de l’esprit des origines, il est bon de se rappeler l’influence de la façon de représenter Dieu dans la tradition catholique.

L’influence de la façon de représenter Dieu

Dieu est avant tout le Tout-Autre. Oui, il est Père, mais il est aussi Mère. Une des pistes d’ouverture dans ce débat consiste à se référer à Dieu comme Père et Mère. Le Dieu de la Bible est parfois évoqué comme celle qui allaite et prend soin de ses petits. « Il n’y a plus de raison aujourd’hui pour exprimer en termes exclusivement masculins la relation d’Alliance de Dieu avec l’humanité. Le terme divin de l’Alliance est aussi bien Mère que Père, et son terme humain, aussi bien fille que fils », comme le rappelle le théologien Jean Richard[7]. Le pape Jean-Paul Ier l’avait bien compris lorsqu’il avait affirmé lors de l’angélus du 10 septembre 1978 : « Dieu est papa, mais plus encore il est maman[8]. » Présenter Dieu uniquement comme mâle exclut les femmes du divin et peut avoir un impact sur la représentation des ministères.

Les multiples études

Une des stratégies de l’Église pour éviter de régler une question consiste à demander de nouvelles études, des études interminables. Le pape François a évoqué la tentation du « tablettage des études »… C’est ce qu’on vient de faire avec la question des femmes et des ministères ordonnés à l’occasion du dernier synode des évêques. Il existe pourtant déjà de multiples études de qualité sur le sujet. Mais comment est-ce possible, devant ces différents constats, de faire advenir un changement ?

Pistes d’action possible

Voici quelques pistes d’action à envisager :

  • Demander, pour ne pas dire exiger, des représentants de l’institution qu’ils :
    • se mettent à l’écoute du peuple de Dieu qui veut des pasteurs, hommes ou femmes, pour répondre à ses besoins, et ce, en tenant compte des particularités régionales, du rythme de chaque société, sans brusquer, mais aussi sans freiner ;
    • se mettent à l’écoute des femmes qui disent porter un appel à un ministère ordonné en leur offrant la possibilité de discerner leur vocation, comme on le fait pour les hommes, et entrer en dialogue avec celles qui se sont fait ordonner. Cette écoute profonde des cheminements des femmes par des évêques a été déterminante dans la décision de l’Église anglicane d’Angleterre d’ordonner des femmes ;
    • tiennent compte des différentes recherches et conclusions de comités sur la question sans recommencer continuellement ;
    • rendent publics les deux rapports des commissions sur le diaconat féminin ;
  • Continuer comme chrétiens et chrétiennes de nous approprier et de diffuser l’information qui existe sur la question :
  • Soutenir l’idée de l’accessibilité des femmes à l’ordination, tout en continuant de rêver à la transformation de la structure actuelle de l’institution ecclésiale catholique. Ne lâchons pas. « La persévérance est une qualité des prophètes », affirmait sœur Theresa Kane, décédée dernièrement. C’est elle qui, en 1979, avait osé demander publiquement à Jean-Paul II l’accessibilité des femmes à tous les ministères. L’ordination à la prêtrise est la porte d’entrée pour accéder aux décisions dans l’Église et c’est une question de crédibilité, ne l’oublions pas.

Conclusion

Laissons-nous inspirer par cette réflexion d’un évêque lors de la discussion précédant l’acceptation de la prêtrise pour les femmes dans l’Église anglicane d’Angleterre :

Pour moi, la question clé est celle de la crédibilité de l’Évangile. Quelle sorte de Bonne Nouvelle est-ce donc que seuls des hommes peuvent représenter l’Église ? […] Je ne vois pas comment on peut annoncer l’Évangile du Christ à un monde incroyant par l’assertion que seuls des hommes peuvent être prêtres. (Santer, cité par Mercier, 1994, p. 110-111)

Et rappelons-nous cette phrase de Paul : « À chacun [chacune] est donné ce qui rend le Souffle visible, pour l’intérêt commun » (1 Co 12,7)[13].

[1] Olivette GENEST, « Femmes et ministères dans le Nouveau Testament », Archives Femmes et Ministères, L’autre Parole. En ligne : https://femmes-ministeres.lautreparole.org/?p=352 (Le texte original a été publié en 1987 et modifié par l’autrice en 2020.)

[2] G. MACY, « The ordination of women in the early middle ages », dans B. COOKE et G. MACY (dir.), A history of women and ordination, volume 1 : The ordination of women in a medieval context, Lanham, Scarecrow Press, 2002, p. 1-30 ; Georgio OTRANTO, Le problème de l’ordination des femmes à la prêtrise dans les Églises anciennes (trad. de l’italien à l’anglais : Ann Rossi ; de l’anglais au français : Françoise Bourguignon). Conférence donnée aux États-Unis. Women Priests, 1991. En ligne : www.womenpriests.org/fr/traditio/otran_2.asp (consulté le 31 décembre 2024) ; Georgio OTRANTO, « Le sacerdoce des femmes dans l’antiquité chrétienne », Golias Magazine, 56, 1997, p. 66-69.

[3] Jan À HANÁK, « Ona je kněz. Příběh Ludmily Javorové, tajně vysvěcené ženy » [Elle est prêtre. L’histoire de Ludmila Javorová, une femme ordonnée en secret], documentaire radiophonique, Vltava, 21 décembre, 2023. En ligne : https://vltava.rozhlas.cz/ona-je-knez-pribeh-ludmily-javorove-tajne-vysvecene-zeny-8646018 (consulté le 31 décembre 2024) ; Christine SCHENK, « As Francis visits Slovakia, international crowd celebrates Czech woman priest » [Alors que François visite la Slovaquie, la foule internationale célèbre la femme prêtre tchèque], National Catholic Reporter, 16 septembre 2021. En ligne : https://www.ncronline.org/news/opinion/simply-spirit/francis-visits-slovakia-international-crowd-celebrates-czech-woman-priest (consulté le 31 décembre 2024) ; Suzanne TUNC, Ludmila Javorová. Histoire de la première femme prêtre, Paris, Les Éditions du Temps Présent, 2012, 151 p. ; Miriam Therese WINTER, Out of the depths: the story of Ludmila Javorová, ordained Roman Catholic priest [Des profondeurs : l’histoire de Ludmila Javorová, ordonnée prêtre catholique romaine], New York, The Crossroad Publishing Company, 2001, 260 p.

[4] Pauline JACOB, « Des femmes audacieuses », Échanges. Revue des amis de Charles de Foucault, 6/1, mai 2020, p. 18-19. Republié le 25 juin 2020 sur le site Femmes et Ministères. En ligne : https://femmes-ministeres.lautreparole.org/?p=5543 (consulté le 31 décembre 2024).

[5] Women Ordination Conference. En ligne : https://www.womensordination.org/ (consulté le 31 décembre 2024).

[6] Pauline JACOB. Appelées aux ministères ordonnés, Ottawa, Éditions Novalis, 2007.

[7] Jean RICHARD, « Dieu Père et Mère », dans Dieu, Ottawa, Éditions Novalis, 1990, p. 111-138. En ligne : https://femmes-ministeres.lautreparole.org/?p=4755 (consulté le 31 décembre 2024).

[8] JEAN-PAUL IER, « Angelus » (10 septembre 1978), Site du Vatican. En ligne : http://w2.vatican.va/content/john-paul-i/fr/angelus/documents/hf_jp-i_ang_10091978.html (consulté le 31 décembre 2024).

[9] Femmes et Ministères. En ligne : https://femmes-ministeres.lautreparole.org/ (consulté le 26 décembre 2024).

[10] L’autre Parole. En ligne : https://www.lautreparole.org/ (consulté le 31 décembre 2024).

[11] Roman Catholic Womenpriests. En ligne : http://www.romancatholicwomenpriests.org (consulté le 31 décembre 2024).

[12] Women can be priests [Women priests], Wijngaards Institute for Catholic Research. En ligne : https://womenpriests.org/ (consulté le 31 décembre 2024).

[13] La Bible, nouvelle traduction, Bayard/Médiaspaul, 2001.